Royalement, — peut-être en vain, —
Car, hélas ! à l’heure qu’il est
J’ignore encor ce qui te plait
Je t’ai fait des cadeaux divins !
Sans que tu puisses t’en douter
Et comme un jardin pour les dieux
Mon cœur te situe au milieu
De tous mes immortels étés.
Et cependant que sous ton toit
Tu ne rêves peut-être à rien
Je vois d’un œil aérien
Ce grand ciel que j’ai mis sur toi…
Anna de Noailles "royalement, peut-être en vain "
Rien n'est jamais vain, Maria ....... Ziboux
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